Qui suis-je ?

Issue d’une famille de sportifs, l’activité physique a toujours fait partie intégrante de ma vie.
Au départ, je pense devenir professeure de sport dans les écoles, avec l’idée un peu simple que cela me permettra de « toucher » à plein d’activités. Tout faux, notamment avec un public qui n’a pas choisi d’être là : le sport par obligation et non par plaisir.
Changement de direction : je me tourne vers le sport que je pratique en compétition (le fitness).
Dans la première salle où je travaille, il y a une piscine. J’adore l’eau, je me spécialise également dans les activités de natation.
Première difficulté : lors de l’apprentissage de la natation chez certains adultes ou enfants, il peut y avoir un blocage. Je constate alors le rôle et le lien du mental sur le physique.
Je reprends à nouveau mes études pour appréhender le cerveau, cet outil fantastique.
Chez le sportif viennent les phases de fatigue et/ou de blessure. La question se pose : comment allier performance et récupération ?
Je me tourne alors vers le massage, le thaïlandais, plus appuyé, qui oblige le muscle à se relâcher tout en étant drainant. Mais il reste quelques questions sur l’alimentation.
Et puis, pourquoi attendre d’aller « mal » pour se soigner ?
Donc direction la Médecine Traditionnelle Chinoise, pour compléter la prise en charge physique et mentale des personnes que j’accompagne.
Comment trouver un métier qui regroupe tout cela ?
En le créant, bien sûr !
C’est pourquoi j’ai créé ma société, Lilibulles (naissance en 2007). Cela me permet de faire pratiquer du sport « à ma façon », dans la bonne humeur, et avec beaucoup d’adaptations et de pédagogie.
Mon parcours me permet de travailler aussi bien avec des particuliers qu’avec des entreprises, aussi bien pour de la pratique sportive, que pour de la formation (formations Lilibulles ou enseignement à la faculté des sports), ou encore de la création (notamment du matériel de piscine).
Pour la suite, toujours des formations, c’est sûr… mais lesquelles ?
Tellement de choses à appréhender que seul l’avenir le dira.
On en reparle dans un an ?